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Culture et langue japonaise

16 décembre 2010

Shigeru Miyamoto, la saga Nintendo 3/3

 

miyamoto

Shigeru Miyamoto (宮本 茂Miyamoto Shigeru), né le 16 novembre 1952, est un créateur japonais de jeu vidéo. Il est le créateur des franchises Super MarioDonkey KongThe Legend of ZeldaStar FoxF-Zero et Pikmin pour le compte de Nintendo. Il a également supervisé de nombreux titres édités par Nintendo et développés par d'autres studios. Il est actuellement directeur général de Nintendo EAD.

Shigeru Miyamoto est considéré comme une des plus grandes figures du jeu vidéo, surnommé le « Spielberg des jeux vidéo » ou encore « l'inventeur du jeu vidéo moderne ». En 1998, il a été la première personne à entrer au Hall of Fame de l'Academy of Interactive Arts and Sciences.

Shigeru Miyamoto, la saga Nintendo 3/3

 

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16 décembre 2010

Shigeru Miyamoto, la saga Nintendo 2/3

 

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Super Mario Bros. est l'un des premiers jeux de plate-forme sorti sur NES (la console 8-bit de Nintendo). Le héros est un plombier moustachu se nommant Mario. Il doit délivrer la princesse Toadstool (Peach) retenue prisonnière dans le château de l'infâme Bowser (Koopa dans la version originale japonaise). Pour cela, il devra traverser de nombreux niveaux à difficulté croissante jusqu'à atteindre le repaire du boss de fin : Bowser en personne.

Le jeu a été conçu paShigeru MiyamotoSuper Mario Bros. n'est que le premier épisode de la longue série Super Mario, de nouveaux opus étant développés plus ou moins régulièrement.

Super Mario Bros est le deuxième jeu vidéo le plus vendu au monde, avec 40,24 millions d'exemplaires vendus, derrière un autre jeu de Nintendo, Wii Sports.

À l'occasion des 25 ans de Super Mario Bros, une compilation nommé Super Mario All-Stars 25th Anniversary Edition sort au Japon le 21 octobre 2010 et en Europe le 3 decembre 2010. Le coffret contient un jeu qui compile plusieurs opus de la série, un livret revenant sur l'évolution de la série et du personnage, ainsi qui CD audio contenant plusieurs musiques des jeux.

Shigeru Miyamoto, la saga Nintendo 2/3

 

16 décembre 2010

Shigeru Miyamoto, la saga Nintendo 1/3

 

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Nintendo Company, Limited (任天堂株式会社Nintendō Kabushiki Gaisha) est une entreprise multinationale japonaise fondée en 1889 par Fusajiro Yamauchi près de Kyōto au Japon.

À ses débuts, la société produisait des cartes à jouer japonaises : les hanafuda. C’est à partir des années 1970 que la société a diversifié ses activités en produisant des jeux vidéos. Elle a été l'un des principaux précurseurs du jeu vidéo, et est actuellement le leader du marché des consoles de jeux vidéos.

À partir des années 1980, Nintendo s’est lancé dans le marché des consoles et des jeux vidéo. Actuellement, elle est l’un des leaders de ce marché : en 2008, Nintendo est classé premier éditeur de jeux vidéo au Japon et deuxième aux États-Unis (NPD Group). Au 1er décembre 2006, Nintendo a vendu 387 millions de consoles et 2,2 milliards de jeux vidéo dans le monde.

Shigeru Miyamoto, la saga Nintendo 1/3

 

15 décembre 2010

Les arts martiaux japonais 4/4

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Le kyūdō (弓道litt. « la voie de l'arc ») est un art martial Japonais (budō), issu du tir à l'arc guerrier.

Cette discipline se singularise de sa contrepartie occidentale par les influences mélangées propres à la culture japonaise: le zen, le Confucianisme et aussi le taoïsme et shintoisme.

Le kyūdō est une des voies martiales japonaises, cherchant le développement de la discipline du corps et du groupe, par la maîtrise des gestes. Le pratiquant recherche un mouvement parfait, pour pouvoir transcender à la fois le désir de l'ego et l'objectif très terre à terre, consistant à percer une feuille de papier servant de cible, avec un minimum de tension musculaire et un maximum d'énergie spirituelle, ki. La gestuelle esthétique résulte d'une chorégraphie codifiée. Atteindre précisément la cible est la conséquence du bon équilibre entre un corps et un esprit disciplinés et harmonisés. Le deuxième pendant de cette discipline est le développement du tir dans un comportement social entre archers, c'est-à-dire l'étiquette: un tir ne se déroule pas sans qu'un archer ne tienne compte du contexte, de l'environnement et des personnes présentes.

 

15 décembre 2010

Les arts martiaux japonais 3/4

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L'aïkido (合気道aikidō) est un art martial japonais (budo), fondé par Morihei Ueshiba entre 1930 et 1960. L'aïkido a été officiellement reconnu par le gouvernement japonais en 1940 sous le nom d’aikibudō. Il a été créé à partir de l'expérience que son fondateur avait de l'enseignement des koryu (écoles d'arts martiaux anciennes), essentiellement le ju-jitsu de l'école daitō ryū, le kenjutsu (art du sabre japonais) et l'aikijutsu. L'aïkido est né de la rencontre entre ces techniques de combat et une réflexion métaphysique de Morihei Ueshiba sur le sens de la pratique martiale à l'ère moderne.

Les arts martiaux japonais 3/4


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15 décembre 2010

Les arts martiaux japonais 2/4

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Le kendo (剣道 / 劍道, kendō, littéralement la voie du sabre) est la version moderne du kenjutsu (剣術, kenjutsu, techniques du sabre), l'escrime au sabre pratiquée autrefois au Japon par les samouraïs. Par version moderne, il faut comprendre que le kendo n'est pas seulement un art martial mais également un sport de compétition, aujourd'hui largement pratiqué dans le monde. Le kendo ne se résume toutefois pas à un simple ensemble de techniques et de tactiques du combat au sabre. Il comprend également un volet spirituel. Le kendo permet à ses pratiquants de développer leur force de caractère et leur détermination.

Les arts martiaux japonais 2/4

15 décembre 2010

Les arts martiaux japonais 1/4

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Les termes arts martiaux japonais désignent une grande variété d'arts martiaux originaires du Japon. Ils traduisent au moins trois termes japonais couramment employés de manière interchangeable : budō, dont le sens littéral est « voie de la guerre », bujutsu (武術), « techniques de la guerre », et bugei (武芸), « art martial ». Le premier terme, budō, est un terme moderne, et fait référence à la pratique des arts martiaux comme à un mode de vie, comprenant des dimensions à la fois physiques, morales et spirituelles. Les termes bujutsu et bugei ont des définitions plus restreintes, au moins dans leur usage historique propre. Bujutsu désigne spécifiquement les applications pratiques de techniques martiales à des situations de combat réel, tandis que bugei fait référence à l'adaptation de ces techniques et tactiques en vue de leur enseignement dans un cadre précis.

 

Les arts martiaux japonais 1/4

 

 

15 décembre 2010

Les Samouraïs 3/3

 

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La plupart des samouraïs vouaient leur vie au bushido, un code strict qui exigeait loyauté et honneur jusqu'à la mort. Si un samouraï échouait à garder son honneur il pouvait le regagner en commettant le seppuku (suicide rituel), que l'on connaît mieux en occident sous le terme de « hara-kiri » ou « l'action de s'ouvrir le ventre » (hara : le « ventre », siège du ki (puissance, énergie) et kiri : « coupe »). Cependant, il faut noter une différence non négligeable entre seppuku et hara-kiri. Le seppuku permettait à un guerrier vaincu de se donner la mort et de pouvoir ainsi mourir avec son honneur (le vainqueur abrégeait ensuite ses souffrances). Le hara-kiri était une façon de se donner la mort où la personne "perdait" tout honneur suite à ce geste. Dans le Japon féodal, on parlera de hara-kiri pour une personne se donnant la mort suite par exemple à une humiliation (adultère par exemple) et de seppuku pour une personne assumant une défaite et se donnant la mort (guerrier perdant une bataille). Cette nuance est sensible mais importante dans la compréhension du bushido.

Les Samouraïs  3/3

 

15 décembre 2010

Les Samouraïs 2/3

 

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Un samouraï n'ayant pas de rattachement à un clan ou à un daimyō (seigneur féodal) était appelé un rōnin. Un samouraï qui était un vassal direct du shogun était appelé hatamoto.

Cependant, tous les soldats n'étaient pas samouraïs, ceux-ci constituant une élite équivalent en quelque sorte aux chevaliers européens ; l'armée, à partir de la période Kamakura, reposait sur de larges troupes de fantassins de base nommés ashigaru et recrutés principalement parmi les paysans.

Les Samouraïs  2/3

 

 

15 décembre 2010

Les Samouraïs 1/3

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Pendant l’époque de Kamakura, alors que les pouvoirs civils et militaires sont réunis dans les mêmes mains, le samouraï acquiert statut et prestige. À l’origine, c’est un serviteur armé attaché à la personne d’un aristocrate de la cour. Lorsque les princes partent s’installer en province, ces serviteurs se voient chargés de fonctions multiples, et les plus habiles deviennent progressivement de petits seigneurs locaux (daimyō), disposant de pouvoirs étendus, variant selon les cas du rôle de mercenaire à celui de gouverneur d’un domaine voire d’une province entière.

Les Samouraïs  1/3

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